Il s’agit de couteaux sans articulation mécanique. Ces couteaux sont généralement pourvus d’un étui pour leur transport.
La lame se prolonge dans le manche. La partie de la lame se prolongeant dans le manche est appelée « soie ». La soie peut être fixée au manche : par encastrement, par collage, par matériau injecté ou par vis ou rivets. La soie, elle, peut être traversante, partielle ou plate semelle.
Dans certains cas, le couteau est constitué d’une seule pièce métallique (manche et lame), il est question alors de couteau intégral. Ce type de construction est prisé pour les couteaux de table car il est hygiénique (pas d’interstices dans lequel peuvent se loger les saletés).
Le terme « intégral » est également parfois employé pour certains couteaux pour lesquels la lame la soie, les mitres et/ou le pommeau sont réalisés d’une seule pièce (dans ce cas le couteau peut posséder des plaquettes et ou d’autre type de manche).
Parmi les couteaux droits que je réalise on trouve :